Quète Du Mois D'Avril : Au Secours De La Justice !!!

Fate Apocalyptic Mageia

Cela faisait maintenant cinq jours que la ville de Tokyo était en proie à la panique, on peut dire que la métropole n’avait jamais connu des jours aussi sombres que ces derniers ...

Avril deux mille cent vingt-cinq, près du poste de police d’Edogawa. Une troupe de journalistes s’était donnée rendez-vous devant la bâtisse pour un communiqué du chef de la police, le jeune Hisoka Miryama. Il y avait beaucoup de monde devant le lieu, des journalistes principalement mais aussi des civils désireux d’obtenir des réponses sur les derniers évènements se déroulant dans la métropole :

« Journaliste : Commandant Miryama ! Que pouvez-vous nous dire sur ces derniers incidents de Tokyo ?

- Hisoka : Et bien nous essayons de tenir du mieux que nous pouvons avec nos effectifs actuels, je pense que nous pouvons affirmer que l’on arrive à tenir les rennes.

- Journaliste : Et ce fameux mur qui empêche toute personne de sortir, étiez-vous au courant de cette expérience ?

- Hisoka: Malheureusement non , les autorités les plus éminentes ainsi que la police de notre belle Tokyo ne savaient pas qu’un rempart invincible se dresserait pour nous isoler.

- Journaliste : Certaines personnes pensent que le Japon teste une nouvelle arme ... Que nous serions devenus une ville test. Etes-vous du même avis, commandant ?

- Hisoka : Et bien pour être franc avec vous, je n’y crois pas une seule seconde. Quel humain pourrait créer une telle chose ?...

- Journaliste : Vous considérez donc que c’est un acte divin ... Tel un châtiment ? Est-ce que vous songez que le message mystérieux transmis sur nos écrans, il y a de cela quelques jours, aurait un quelconque rapport avec ce dôme ?

- Hisoka : Un acte divin ... Si dieu s’amuse avec nous, c’est qu’il est bien cruel ... Et non je ne pense pas que cela vient de cette annonce diffusée à la télé. Cette déclaration est tout juste une farce pour moi. Au sujet du mur, je vous en dirais plus dès que nous aurons plus d’informations.

- Journaliste : Et au sujet de la ville ! Qu’avez-vous à répondre concernant les différents actes de violence que notre belle capitale subit ses derniers jours ?

- Hisoka : Les méfaits de petites frappes et malfrats sont monnaie courante dans une grande ville telle que Tokyo, nous essayons de contenir la foule du mieux qu’il nous est permis.

- Journaliste : Cette attaque au centre commercial de Shibuya ? Pour vous, c’est une simple attaque de vauriens ? Pourtant, nous avons déjà dépassé la soixantaine de victimes, morts et blessés compris ! Cela signifie-t-il que le coupable court toujours dans nos rues ? Allez-vous le nier, Monsieur le Préfet ?!

- Hisoka : Malheureusement la police et moi-même sommes débordés avec cette affaire de confinement de notre population. Beaucoup de mes hommes se sont retrouvés en dehors de la ville au moment du drame et en apprenant qu’ils ne pourront plus sortir d’ici, l’Etat nous a fait comprendre que nous n’aurons aucune aide en termes de renforts. Raison pour laquelle je compte réclamer le soutien des habitants de Tokyo vis-à-vis de cet attentat ! Si vous trouvez des indices ou tout simplement le coupable. Merci de le ramener au poste de police d’Edogawa ! Sur ces entrefaites mesdames et messieurs les journalistes la conférence est terminée !

Le commandant Miryama tourna le dos à l’assemblée de chroniqueurs qui continuait de poser une multitude de questions. Les portes du poste de police se refermèrent derrière lui ...
Les jours suivant cette conférence du commandant, les postes de radio et de télé furent envahis d’un appel à l’aide de la police. Elle demandait aux citoyens de les aider à protéger Tokyo, on pouvait voir les portraits des suspects défiler sur toutes les plateformes audiovisuelles...

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Règles et explications du fait divers :

Bienvenue dans le fait divers du mois d’Avril, chaque mois une quête apparaitra comme celle-ci. Elles dureront du premier jour du mois jusqu’au dernier.

Nous sommes donc sur la première quête, elle durera donc du 1er Avril jusqu’au 30 Avril inclus.

La quête se divisera en deux parties, une partie investigation et une partie recherche.

La partie investigation : Vous vous retrouverez dans le centre commercial de Shibuya et chercherez des indices sur l’éventuel coupable parmi les 5 suspects que la police vous à présenté. A vous de dénicher le bon et de faire tomber le glaive de la justice sur lui !
La partie Recherche : Vous savez qui est le coupable ! Maintenant il faut l’attraper ! Cela sera une belle course poursuite entre lui et vous, est-ce que le lièvre sera plus rapide que les tortues ? Ou tout simplement plus rusé ! A vous de faire vos preuves !

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Les règles :

On va instaurer quelques petites règles pour que l’Event se passe bien ! Tout d’abord, nous allons fonctionner par tours de jeux. Tous les joueurs rperont chacun leur tour, puis Voyde viendra vous répondre et on recommencera : Mais comment allons-nous faire un tour de jeu ? C’est très simple !
Du 1er avril au 5 avril compris, vous pouvez poster votre réponse pour cet Event, le 6 Voyde viendra vous répondre, l’ordre de réponse devra respecter celui du premier tour.
Et si des gens veulent rejoindre cette aventure en chemin ?
N’importe qui de valider peut participer à la quête qu’elle ait débuté ou non, elle se retrouvera juste forcément dernière dans le tour de jeu.

Exemple : Allan, Zayin et Shido écrivent dans cet ordre pendant les cinq premiers jours. La chronologie sera donc « Allan, Zayin, Shido ». Napoléon décide de rejoindre la quête au beau milieu de celle-ci, il devra répondre donc en dernier lors du tour RP en cours, ca deviendra donc : « Allan, Zain, Shido, Napoléon » et ainsi de suite pour chaque arrivant.

Pas besoin de faire des romans, vous avez un mois pour faire cette quête dans son entièreté. Nous allons donc donner un délai de 3 jours pour poster, passer ce délai nous sauterons votre tour pour le suivant.

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Les récompenses :

Maintenant parlons de ce qui vous intéresse surement : La récompense !

3 Récompenses pour vous : une de participation, une pour dans le cas où vous allez jusqu’au bout de la quête et une pour l’accomplissement de la quête :
La récompense de participations : 10 SQ et 10 XP Ce n’est pas la panacéee certes, mais c’est un petit quelque chose pour vous remercier d’avoir participé !

La récompense pour aller jusqu’au bout de la quête : 1 Ticket d’Event et 1 Pierre d’amélioration (Rare)

La récompense pour avoir réussi la quête : 400 SQ et 400 XP. Le succès de la quête se fait par la capture VIVANT du coupable, le livrant par ailleurs au poste de police d’Edogawa .

La liste des suspects :

Kizuma Eichii
Age: 19 ans Sexe: M Taille: 1M78 Poids: 70 Kg Métier Ou Occupation: Membre de Gang
Alibi: Il dit avoir été en pleine ballade à moto avec ses amis, non loin du centre commercial. Police: Nous n’avons trouvé aucune moto, de plus, ses «amis» ne l’ont pas vu depuis le matin. Alibi non confirmé !

Naomi Kimano
Age:21 ans Sexe: F Taille: 1M75 Poids: 56Kg Métier Ou Occupation: Escorte Girl
Alibi: Selon ses dires, elle était avec l’un de ses clients lors de la fusillade Police: Aucune trace du fameux client. Alibi non confirmé !

Megumin Akibe
Age: 33 ans Sexe: F Taille: 1M73 Poids: 63Kg Métier Ou Occupation: Ancienne Militaire
Alibi: Elle prétend être arrivée deux heures après l'attentat, sur les terres du japon par voie aérienne . Police: Pourtant, son billet d’avion date de la vieille. Alibi non confirmé !

Seishiro Okuma
Age: 30 ans Sexe: M Taille: 1M88 Poids: 78Kg Métier Ou Occupation: Serveur
Alibi: Il nous a assuré avoir travaillé à l’heure du crime. Police: Son patron nous a affirmé qu'il était de repos, son planning au bar le prouve également. Alibi non confirmé !

Aiho Nomura
Age: 17 ans Sexe: M Taille: 1M80 Poids: 74 Kg Métier Ou Occupation: Étudiant et professeur particulier .
Alibi: Il était sensé être en cours particulier avec une collégienne. Police: Hors il aurait annulé la leçon à la dernière minute. Alibi non confirmé !

Identité: Inconnue
Age: Inconnu
Statut: Inconnu
Équipement:
Veste en cuir, Jean noir, Bottes à talon haut, combinaison moulante dépassant des habits.

Narration | Yoko | Autre Ennemi | Autre Neutre | Autre Ami

Aujourd’hui on devait se rassembler concernant un problème qui fait la une des journaux. Je suis alors allez sur les lieux du rendez-vous et on m’a demandé d’enquêter sur les 5 suspects avec très peu d’indices. Le crime serait un acte terroriste dans un centre commercial ayant fait 60 victimes. La plupart sont morts des suites de leurs blessures.

Ce qui est étrange c’est que chacun des 5 suspects a un alibi mais que chaque alibi a été vérifié. Je fais donc confiance aux informations qui me sont données par mes supérieurs. Les suspects qui me sont donnés sont alors les suivants:

Kizuma Eiichi mineur de 19 ans membre de gang qui a menti sur une virée à moto… J’ai déjà fait ça pour jouer au Blackjack en cachette ça n’a rien d’un comportement criminel.

Naomi Kimano 21 ans Escorte Girl… Elle aurait été avec l’un de ses clients qui n’existerait pas ou que l’on ne retrouve pas. C’est pas non plus quelque chose qui me dérange surtout que ça doit pas être facile tous les jours pour elle.

Megumin Akibe 33 ans??? Mais c’est pas sa photo ça si? Elle a 4 ans de moins que moi pas 33 piges… Calme toi moi, on ne juge pas aux apparences c’est ce qu’Amélia m’a dit. Bon le papier dit qu’elle prétend être arrivé d’avion 2 heures après l’attentat alors que son avion était hier… Je la met de côté elle cache quelque chose pour sûr.

Seishiro Okuma 30 ans serveur, beau gosse, il a tout pour plaire, c’est pas lui… Vous espériez vraiment que je dise ça? Il disait avoir travaillé à l’heure du crime mais son patron a dit que non… Tout le monde a déjà fait du black peut être qu’il devait vendre des trucs pas très correctes et que ça payait mieux… Enfin bref j’aimerai l’accuser parce que sa beauté est un crime pour l’humanité mais je vais m’abstenir il n’est pas le plus suspect.

Aiho Nomura mineur de 17 ans étudiant et professeur. Il est beau aussi mais pas trop mon type… Je m’égare décidément faut que je renie les pensées impures. Je cite donc quelques verset de la bible et me remet à la lecture du papier. Il était en cours particulier avec une collégienne mais en réalité il avait annulé au dernier moment… Pourquoi il aurait menti là-dessus ça ne fais pas de sens. Je ne sais pas comment les suspects ont été sélectionné dans un centre commercial ceci dit mais peut-être que mes supérieurs testent mes capacités…

Je vais commencer par enquêter sur Megumin Akibe dans un premier temps c’est elle qui a l’alibi le plus louche. Je reviendrai vers Aiho Nomura plus tard. Je me dirige donc vers notre mère pour qu’elle me donne plus d’information. Je me prosterne devant elle.
Après réflexion j’aimerai plus d’informations sur Megumin Akibe afin de l’interroger. Je demande autorisation de prendre ma lame et d’agir de nuit.

C’était un jour comme un autre pour moi, je me levais tranquillement de mon lit et me diriger vers le salon, là bas je me préparer un copieux petit déjeune puis allumer la télé pour voir les dernières nouvelles nous concernant. J’écoutais attentivement la télé, ma servante, elle n’était pas encore debout.

Comme habituellement, les informations parler de l’espèce de champ de force nous empêchant de sortir de Tokyo. Il y avait visiblement eu un accident dans un centre commercial de Shibuya, énormément de blessé apparemment. C’étaient quelques choses qui me révulser au plus haut point. Comment pouvait-on faire autant de blessés, faire autant souffrir les gens ?

Qu’elle en était le but final ? De la satisfaction ? Cette personne avait il ou elle un objectif ? Un objectif qui nécessitait de tuer et blesser des passants, des familles ou même des enfants ?
J’étais plongé dans mes pensées et me mordre les lèvres presque à sang, je regardais les visages passer un par un sur l’écran avec une profonde haine, me dire que l’un d’entre eux était probablement le coupable me rendait fou de rage intérieurement.

Je me mettais à étudier plus en détails chaque portrait et descriptions, le premier Kizuma Eichii, avait tout de la petite frappe que l’on trouvait à n’importe quel coin de rue. Je m’en rappelle en voir des comme lui à mon université. La deuxième Naomi Kimano, était une très belle jeune femme, aparrament elle est Escort Girl. Je ne sais même pas en quoi son métier consiste vraiment du coup, je n’ai pas de raison de m’attarder plus sur elle, elle peut tout aussi bien être coupable que le premier ...

La troisième personne Megumin Akibe ... Me donnais froid dans le dos, elle avait un regard sombre, on aurait dit ... Une folle. Ancienne Militaire ? Hum elle aurait pu savoir comment se procurer ce genre d’arme, mais n’importe qui de travaillant dans quelque chose d’un peu louche peut savoir ou se procurer ce genre d’arme. À ne pas accuser trop vite du coup ...

Le quatrième Seishiro Okuma était un beau jeune homme, il travaillait en tant que serveur. Jusque la rien d’anormal , j’étais assez étonnée qu’un si bel homme aurait pu commettre un tel crime ...

Et pour finir le cinquième et dernier ... Je ne sais vraiment pas quoi penser de lui, il me semble même l’avoir déjà croisé dans mes anciens cours préparatoires pour rejoindre la fac.

Bref cinq suspect et pas un qui me parait forcément plus louche que les autres, tous leurs alibis sont faux de toute façon , le meilleur moyen et d’en savoir plus de toute façon !

Je pris mon manteau et me mis à hurler :

« Je sors ! Je reviens vite !»

Armée de mon sabre en bois, je fermais la porte et me dirigeais en direction du centre commercial , pour chercher des indices et résoudre cette affaire !

Assis sur mon siège en train de tirer sur ma pipe, l'horloge électronique affichait sept heure du matin. Recouvert d'une robe de chambre que m'avait acheté mon Master pour que je puisse me sentir plus "à l'aise", ainsi que des vêtements de l'époque. Je l'avais accompagné dans ses achats, j'avais beau être peu exigeant sur certains points, j'appréciais être élégant et cela faisait plus professionnel. J'optais vers un style de l'époque sobre mais raffiné, je fis mon Master tressaillir au montant de la somme mais je n'en fis pas cas. N'ayant pas besoin de dormir, je profitais de la moindre occasion pour récupérer les détails criminels les plus abominables. Rien ne devait m'échapper même les sévices qu'infligés les nazis sur les juifs lors de la Seconde Guerre Mondiale. Ce n'était pas mon unique genre de lecture, la biochimie, la médecine moléculaire enfin tout ce qui pouvait m'apporter des connaissances pratiques. Aujourd'hui, je m'adonnais à la lecture de l'une des adaptations des écrits de Watson, en l’occurrence il s’agissait d'un scénario où Moriarty aurait survécu à sa chute. Quelle imagination ! Dommage qu'elle ne serve pas à poursuivre les véritables malfaiteurs, notamment si c'est pour reprendre le style romancé de mon ami.

Je levais les yeux aux ciels par rapport à une énième incohérence de l'auteur par rapport à sa personne quand un tintement à la porte d'entrée retentit. J'allais ouvrir pour faire face au livreur de journaux, il m'en tendit un avant de repartir sur son vélo. En effet, je m'étais abonné enfin j'avais légèrement joué de ruse pour persuader mon hôte d'y souscrire. Les gros titres se centraient sur Tokyo et son isolement, ce qui n'était pas anormale pour les personnes inconscients de ce qu'il pouvait réellement se passer. Je fis défilais les lignes sous mes yeux jusqu'à ce que je m'arrête sur l'intitulé d'un article dénonçant une fusillade dans un centre commerciale. Selon les dires de la presse, il y aurait eu une soixantaine de victimes, l'auteur de ce carnage aurait réussi à s'enfuir sans laisser de trace. Je soupirais à la vue des cinq suspects dont les alibis n'avaient pas pu être confirmé, passant à l'annonce du chef de la police.

Je pressais sur l'un des boutons de la télécommande pour allumer la télévision, les informations seraient bientôt présentés au grand public qui n'aurait peut-être pas vu le journal. Je zappais sur les chaines pour tomber pile sur l'interview d'Hisoka, celui-ci quémander aux téléspectateurs volontaires de soutenir la police, d'offrir leurs services sur diverses affaires le temps que la police ne soit plus submergée de boulot. Je levais un sourcils réprobateur, j'estimais que les non-initiés à la criminologie et à la recherche d'enquête ne devraient pas être impliqués. J'imaginais d'ici la scène de l'attentat souillée et piétinée par d’innombrables inconnus en quête de la fameuse récompense. Les forces de police ne semblaient pas avoir changé depuis Scotland Yard même si je me trouve à l'autre bout du globe, je ressens toujours la même incompétence que de mon vivant.

Je me repassais les informations personnelles des suspects et de leur alibi, je n'avais aucun apriori sur ces derniers. Tous différents et vivant dans un cadre distinct, soupçonner une personne sur de si petites bases était une erreur à ne pas faire. Ma décision était prise contre toute attente, hors de question que je laisse une bande d'éléphants novice malmener une mine d'indices. Ni une, ni deux, je sautais dans des vêtements plus conventionnels surmontés de ma cape pour parer à la petite brise du matin, armé de mes loupes. Je me dépêchais de rejoindre ce fameux centre commerciale de Shibuya afin de recueillir des renseignements, je prévenais mon Master de ma courte absence sur un post-it, avant de disparaitre derrière le seuil de la porte.

Malgré vos multiples recherches Solo, toutes les informations que vous avez pu vous procurer, toutes ont l’air de vous dire la même chose. Aller au centre commercial de Shibuya pour chercher des indices !

Vous vous dirigez donc tous plus ou moins là-bas, l’infrastructure de ce centre commercial et ma foi assez grand, cinq étages de haut ce qui n’est pas rien, d’après le peu d’information que vous aviez eu, la fusillade avait eu lieu au troisième étage.

Tout l’étage est quadrillé par des banderoles de sécurité , à la sortie de l’escalator , un policier vous attend fièrement devant vous : Tout l’étage est quadrillé par des banderoles de sécurité , à la sortie de l’escalator , un policier vous attend fièrement devant vous :

« Vous êtes venus pour nous aider dans notre enquête, si ce n’est pas le cas circuler ! On n'a pas besoin d’enfants et de gêneur par ici !»

Il remettait correctement sa casquette et se mit à chuchoter en tiquant légèrement sur ses lèvres :

« Tss qu’elle idée a eu notre chef de faire appelle à des civils , je sais bien que plus de trois-quarts de nos forces sont en dehors de la ville, mais de tout de même ...»

Il vous regardait avec un regard froid et de désinterer en attendant une réponse de votre part.

Hrp : L’ordre sera donc : Yoko , Shido , Sherlock , Voyde . Si des nouveaux doivent se rajouter, ils seront entre Sherlock et Voyde . 2 jours de délais pour répondre , et priorisez des réponses courte pour le bon déroulement de cette quète.

Identité: Yoko
Age: Inconnu
Statut: Inconnu
Équipement:
Veste en cuir, Jean noir, Bottes à talon haut, Combinaison moulante dépassant des habits, Téléphone portable, Gants.

Narration | Yoko | Autre Ennemi | Autre Neutre | Autre Ami

Mère me répondit que la source de tout ceci était purement policière. L’objectif du clergé ici est de récupérer plus d’informations sur la guerre sainte en devenir. Je compris que mon rôle pouvait donc être majeur et si en plus nous pouvions gagner la police dans nos rangs nous gagneront beaucoup.

Je compris alors rapidement qu’il me fallait enquêter de moi-même sur les lieux d’un crime ou n’importe qui pourrait s’y trouver. Mon âge n’allait pas non plus m’aider à passer… Je prend mon portable ainsi que des gants pour ne pas salir les lieux du crime. J’aurai aimé plus d’informations sur cette fameuse Megumin Akabe mais quelque chose me dit que je la verrai bien assez rapidement.

J’arrive donc au centre commercial… Celui-ci est incroyablement grand, le troisième étage est quadrillé et géré par des policiers qui semblent fatigués.
Vous êtes venus pour nous aider dans notre enquête? Si ce n’est pas le cas circulez ! On n'a pas besoin d’enfants et de gêneur par ici !

Je le vois remettre sa casquette et grommeler quelque chose rien de bien important sans doute.
Enchantée. Yoko Yamasuka, j’ai été expressément envoyée pour résoudre cette enquête. J’aimerai tout d'abord entendre ce que vous avez pu récolter comme informations elles nous seront précieuses.

Pour suivre une piste, beaucoup de cused étaient bien plus doués que moi et n’avaient pas ce problème de l’âge. Cependant j’ai beaucoup appris d’eux et agir en adulte n’étaient pas du tout compliqué avec ma corpulence et cette combinaison.
Je mis mes gants et me préparait à entrer une fois les informations reçues de la bouche du policier. J’espère qu’ils ont commencé les recherches et qu’ils ne me feront pas perdre mon temps avec le fameux “on n’en sait rien on vient d’arriver”.

Je reconnaissais dans les personnes qui s'intéressaient à l'affaire 2 personnes. Shido qui dieu sait ce qu'il fait ici... Et l'homme dangereux de l'autre fois. Je vais finir par croire que les choses vont mal finir... Je vais tâcher de les ignorer dans le cadre de cette affaire en espérant que le monstre ne s'amuse pas à effacer les pistes.

J’arrivais donc enfin au centre commercial , celui-ci était toujours autant bombé de monde comme à son habitude, et ceux malgré le malheur qui s’étais abattus sur ses lieux . Tous les étages avaient l’air d’être libre au public, sauf le 4 eme, seul un léger chemin avait était fait pour emmener aux escalators pour passer aux étage supérieur et inférieur.

Je prenais donc les escalators jusqu’au 4 ème étage, là bas un policier avec une allure plus que mécontente était poster devant la sortie de l’escalator, devant lui une jeune femme qui ne me paraissais pas inconnus ... Je m’approchais des deux personnes et dis :

« Bonjour, je viens pour apporter mon aide à votre enquête ...»

Mes yeux se tournaient vers la jeune femme, et qu’elle fut ma surprise de me rendre compte que j’avais déjà vue ce petit brin de fille ...

« Oh ... Mais tu es Yoko ! Je t’avais croisé dans un konbini de Shinjuku !»

Je la saluai respectueusement, puis dis au policier.

« Laissez moi passer, je vais aller rejoindre votre collègue pour avoir plus d’informations ...»

J’attendais donc au côté de la jeune femme, patiemment que le policier décide de nous laisser passer ...

Je marchais promptement vers cette nouvelle affaire, bien qu'étant un simple attentat à "première vue" d'après les médias d'un individu dérangé, je pris cette enquête comme une chance. Je commençais sérieusement à m'ennuyer depuis quelques jours, je me devais d'avoir une activité intellectuelle afin de stimuler mon cerveau. Prêt à m'extraire de l’oisiveté selon mes vieilles habitudes de toxicomane, il me suffisait simplement de trouver un squatte ou tout autre fournisseur. Certain qu'Haruka désapprouve cette idée, à raison alors que je me devais de la protéger, je sautais plutôt sur l’occasion de résoudre une fusillade, de capturer le coupable.

C'est une lueur étincelante d'exaltation que je m'engouffrais dans l'immense centre commerciale de Shibuya, l'ambiance morose régnait à l'intérieur. Les passants continuaient leur train-train quotidien malgré les événements précédents. Les rubans jaunes caractérisants le périmètre délimité par la police se voyaient du rez-de-chaussée sans plus de cérémonie je me dirigeais vers le lieu du crime.

En haut de l'escalator, un membre des forces de l'ordre était planté tel un chien de garde, meuglant surtout être curieux ou un tant soit peu intéressé par l'affaire. J'occultais sans le moindre soucis les aboiements du bouledogue, qui glissèrent sur ma personne, je l'interrompis dans sa phrase d'une levée de main signifiant la sommation de se taire.

- Bien Bien...Hm dites moi vous n'avez pas saccagé la scène de crime, j'espère. Répliquais-je d'un ton impérieux, en me faufilant derrière la ligne de sécurité sous le regard protestataire du policier. J'avais déjà les yeux rivés sur la scène du crime méprisant tout ce qui pouvait gêner à ma concentration. Quelqu'un va enfin nous donner l'exposé des faits ?

Je sortais alors une branche du mécanisme que je m'étais fabriqué, une loupe était reliée à cette tige de fer. La chasse était ouverte...

Le policier se mit à soupirer, il regardait les trois individus, deux gosses et un adulte qui prenait un peut trop ses aises, sacré équipe de chose pour une enquête de cette ampleur. Voyant que le plus adulte avait déjà passer la première banderole de sécurité, il la leva tout en soupirant pour que les deux autres puissent le suivre.

« Je ne suis là que pour la sécurité, si vous voulez des informations aller voir mon collègue ... Mais attention si vous falsifiez la moindre preuve, c’est la case prison directement !»

Il vous regardait toujours en ronchonnant de vous voir marcher sur les lieux du crime , tandis que l’autre agent était à quatre pattes au sol en train de rependre une certaine poudre ...

Identité: Yoko Yamasuka
Age: 16
Statut: Très concentrée dans ce qu'elle fait
Équipement:
Veste en cuir, Jean noir, Bottes à talon haut, combinaison moulante dépassant des habits.

Narration | Yoko | Autre Ennemi | Autre Neutre | Autre Ami

Il n'est là que pour la sécurité et nous regarde de haut... Il doit être fatigué mais du coup il fait perdre un temps précieux à ceux qui seraient capable de résoudre l'enquête. Je regarde les lieux. L'inspecteur semble saupoudrer le terrain pour trouver de quelconques empreintes. Si c'est la première chose qu'il a fait en arrivant c'est de l'amateurisme hors je doute que ce genre de personne soit si peu qualifié.

Je me dirige donc vers lui ignorant presque Shido à qui j'ai simplement répondu.
Bonjour Shido.
La recherche s'annonce sportive. Quand Shido est là j'ai comme des frayeurs toutes les 15 secondes à cause de son comportement j'espère qu'il ne fera pas n'importe quoi sur la scène de crime.
Je m'approche donc de l'inspecteur tout en faisant attention de ne pas l'effrayer pour éviter un faux mouvement. J'ai pas trop envie d'avoir de cette poudre au visage.
Enchantée inspecteur, Yoko Yamasuka. J'ai été envoyé pour enquêter sur la fusillade. J'aurai quelques questions au sujet de la scène de crime et de ce que vous avez pu y trouver. Par exemple les douilles de l'arme, leur calibre, l'objectif du tireur. D'ailleurs si vous cherchez des empreintes vous les trouverez à proximité des douilles.
Tout en discutant j'observe la scène et essaye d’identifier les issues possibles que le tireur a pu emprunter. Je doute qu'il ai pris la sortie conventionnelle.

Visiblement, l’heure n’était pas à la discutions, voyant que Yoko m’avait presque ignorer, je décider également de m’approcher du policier, voyant qu’il ne faisait qu’étaler de la poudre et vue comment Yoko le questionner.

Je décidais de le laisser tranquille et commencer à marcher le long de l’étage tout en regardant autour de moi. Je me posais beaucoup de choses, pourquoi quelqu’un participerait à une telle scène morbide et surtout qu’elle genre de piste, il pourrait laisser. Une pièce de repos, table, chaise, machine à café, mais ce qui me marquait le plus était la fenêtre qui avait l’air d’être cassé, en effet, il n’avait pas l’air d’avoir de vitre à cette fenêtre, je m’approchais et passer ma tête pour voir la hauteur, mais c’était trop haut pour aller vers le bas ...

Je restais quelques instants pensif devant puis mis dirigeais vers la porte, beaucoup de question se posais dans ma tête. Comment un assassin aurais pu s’enfuir du 4e étage sans risque et surtout en esquivant tout ce monde ? J’avançais dans le couloir, celui-ci menait à une porte que j’ouvris à son tour.

Devant moi ? Une pièce de repos, table, chaise, machine à café, mais ce qui me marquait le plus était la fenêtre qui avait l’air d’être cassé, en effet, il n’avait pas l’air d’avoir de vitre à cette fenêtre, je m’approchais et passer ma tête pour voir la hauteur, mais c’était trop haut pour aller vers le bas ... Par contre, il n’y avait qu’ un seul étage à grimper pour aller sur le toit ... Je tenais peut-être quelques choses ...

Je retournais voir le scientifique et mes deux comparses par la même occasion tout en demandant :

« Excusez moi ... Vous avez vérifié la salle du fond ? La fenêtre n’a plus de vitre...»

Je soupirais exaspéré par l'éternel incompétence de la police, agitant ma loupe en direction du sol pour percevoir quelques menus indices. Mes mains gantées palpèrent le sol très délicatement, me couchant presque tel un limier en train de flairer une piste. Finalement, je changeais d'emplacement pour me placer au niveau des diverses emplacements jonchés par les victimes, ceux-ci délimités grâce à des marques ou bien une marre de sang séchés.

Impatient qu'on explique tout d'abord les faits, avant de pouvoir en tirer des hypothèses. Je reviens me racler la gorge auprès du policier usant de poudre pour découvrir des empreintes de pas, je dus faire un immense effort pour retenir mon envie de faire un commentaire désobligeant sur la manière dont dénicher une empreinte autre que par ce procédé d’apposition de poudre. C'est alors que je remarquais Yoko, cette dernière s'est permise de lui donner un conseil certes pertinent mais encore fallait il que ce soit une arme qui le permette.

- Excusez-moi, pourrions connaître les faits exactes de l'attaque ? Et avez-vous recueilli des témoignages, par exemple ceux, s'il y en a, des blessés touchés de façon superficielle ?

C'est alors que Shido déboula en trombe dans la grande salle, indiquant du doigt de la pièce du fond dont le verre de la fenêtre était brisé. Je fronçais alors les sourcils de nouvelles interrogations se bousculaient dans ma tête, toutefois, je fis preuve de patience malgré mon trépignement car les forces de police nippones semblaient un peu trop décontractées et latentes.

Le jeune policier se leva et commença à se présenter :

« Agent Koda ! Pour vous aider !»

Il regarda la jeune femme ainsi que l’homme qui lui posait des questions et commençait à lui répondre :

« Au sujet de l’arme, les douilles retrouvées au sol semblent indiquer qu’il s’agit d’un Ump45 un pistolet-mitrailleur, nous avons estimé la taille du chargeur de 25 balles environ, il a du sûrement prévoir son coup et tirer plusieurs chargeurs sur des civils ... Au sujet des témoignages, nous en avons eu malheureusement aucun qui aurait pu nous permettre de l’identifier, visiblement son coup était préparer et il avait pris soin de bien cacher son visage ...

Mais ... Une chose me paraissait bien étrange, parmi toutes les victimes ... Une jeune femme, c’est prit beaucoup plus de balle que les autres, comme si c’était elle sa véritable cible...»

Il sortit de sa poche une photo de la jeune femme, c’était une femme aux long cheveux noir, connus de la télé, une top-modèle .

« Kita Mori, 26 ans mannequin, elle était au centre commercial pour la promo d’une nouvelle marque de vêtement de l’un de ses contribueurs ...»

Le jeune agent venait à peine de finir sa phrase quand Shido arriva en trombe pour parler de la fenêtre :

« Ah cette fenêtre ? Elle était déjà cassée avant le crime, de plus un homme ou une femme de taille normale ne peut pas passer à travers, il faudrait être un enfant pour ça...»

Il regardait les trois personnes et leur dit d’un ton un peut désespérer :

« Ils m’ont mis seuls sur cette affaire , alors si vous voyez la moindre chose qui peut vous paraître suspect ,n’hésitez pas à venir me voir !»

L’homme se rebaissa au sol et essayait de trouver des empreintes de pas utilisable pour son enquête ...

La vicitime :

Spoiler:

Identité: Yoko Yamasuka
Age: 16
Statut: Très concentrée dans ce qu'elle fait
Équipement:
Veste en cuir, Jean noir, Bottes à talon haut, combinaison moulante dépassant des habits.

Narration | Yoko | Autre Ennemi | Autre Neutre | Autre Ami

L'arme serait donc un UMP la précision du 45 indique le calibre .45ACP le recul est élevé mais l'UMP est facile à tenir bien que cela reste du matériel de professionnel presque impossible à se procurer. Si cela avait été une Kalachnikov ça aurait pu être n'importe qui mais plus on avance dans l'enquête plus je tends à croire que l'étau se ressert sur Akibe.

La mention de la victime principale ne me dis pas grand chose. On pourrait croire à un acharnement mais ça fait sauter aux conclusions bien vite ce qui ne mène à rien. La fenêtre a été écartée des possibilités car seul un enfant pourrait y passer. Je me souviens avoir pensé que Akibe était une gamine mais sa taille de 1m73 montre juste qu'elle est plus grande que moi. Je me dirige donc vers la fenêtre mentionnée pour voir si je serai moi-même capable de la passer facilement si je plongeait la tête la première. Si j'avais un parachute et que j'étais suffisamment préparé c'est ce que je ferai pour fuire les sorties de secours tout comme le reste serait bloqué ou il y aurait trop de monde qui bloquerait le passage dans la panique. Il lui fallait un moyen de partir rapidement. J'étudie donc minutieusement cette fenêtre et où on pourrait retomber sans parachute.

Je dis donc à voix haute pour que le policier m'entende alors que j'estime ma corpulence par rapport à la fenêtre.
Un UMP45 n'est pas une arme commune surtout au Japon il faut venir de l'étranger pour en posséder une. De plus c'est pas une arme simple à l'utilisation, mal entretenue et sans les connaissances nécessaires elle pourrait s'enrailler. On a affaire plus à un professionnel qu'à un fou furieux. Parmis les suspects il y a une personne qui correspond à beaucoup de ces critères. Malheureusement je n'aimerai pas sauter à une conclusion trop hâtive mais si il y a moyen de savoir où se trouve la suspecte Akibe aujourd'hui j'aimerai bien la "rencontrer".

Il y avait une chose que j’avais du mal à saisir ... Pourquoi faire un attentat comme ça et que la première victime se retrouve autant cribler de balles ? Je me grattais le menton tout en réfléchissant, elle n’aurait pas était autant cribler de balles si ce malade voulait juste tirer sans raison. Je regardais Benedict et lui dit :

« J’ai l'impression que ce n’est pas un attentat ordinaire ... Pourquoi cribler d’autant de balles cette pauvre jeune femme si le but était juste de tirer sur tout ce qui bouge ? Ça serais un cruel gâchis de munition et de temps nan ? La personne aurait pu faire plus de victimes s'il avait directement tiré sur tous les passants ...»

Je me grattais ma tignasse tout en regardant la poudre au sol et dit :

« Je vais retourner fouiller un peut les alentours, peut être que je trouverais d’autre indice prêt des poubelle et autre coin reculé ... Au fait monsieur l’agent , essayait de trouver une empreinte dans un centre commercial bourré de monde 24 H / 24 . Je ne pense pas que ça sois vraiment une solution.»

Je me penchais légèrement pour saluer l’agent ainsi que Benedict et repartis de mon côté , mon premier réflexe fut de fouiller les poubelles , le coupable avait un UMP 45 ce n’était pas rien , pas une arme que l’on pouvait se fournir comme ça et encore plus l’emmener dans un centre commercial ...

Je posais un doigt sur mes lèvres comme pour me gravait les faits que nous avait offert si généreusement l'agent Koda, seul sur cette affaire pourtant si intrigante. Notamment depuis un point qui avait été soulevé, une des victimes s'était vue percer de plusieurs balles, de plus, le coupable de cet attentat avait le visage caché. Je tiquais par le manque manifeste de détails, même s'il était préparé à tout, l'un d'entre eux aurait pu trouver un petit signe singulier.

- Hm, savez-vous comment est-il habillé et avec quoi avait-il dissimulé son visage ? Mais également sa corpulence comprenant sa taille et son poids donnant un signalement plus masculin ou féminin, un signe étrange chez cet individu peut-être ? Le moindre petit détail peut être d'une importance capitale.

Alors que j'attendais la réponse qui me semblait une éternité, je me focalisais sur cette pauvre femme tandis que Shido posa un raisonnement pertinent qui reflétait le mien. Je cogitais quelques instants avant d'émettre d'autres questions plus centrées sur ce mannequin. L'hypothèse d'une mise en scène d'attentat pour cacher son véritable objectif qui était d'assassiner cette jeune femme se frayait un chemin, toutefois, je la gardais à l'esprit le temps de la travailler plus indubitablement.

- Agent Koda, je ne crois pas avoir eu connaissance de l'horaire exacte de l'incident malencontreux, tout au plus une notion de fin d'après-midi mais cela reste une information bien vague. Auriez-vous l'amabilité de me resituer l'heure ? Quant à Mme. Mori, je présume qu'elle est décédée à la suite de ses blessures. Saviez-vous si elle était accompagnée ? Au vue du motif de sa venue, il se pourrait qu'elle ne soit pas venue seule, escortée d'un assistant ou de son agent par exemple. Et enfin vous êtes vous plus penché sur son entourage, étant donné la singularité des faits, avait-elle des ennemis à votre connaissance ?

Machinalement, j'allumais une cigarette pour la mettre à ma bouche, cela avait pour effet de stimuler mes pensées.

- Le jeune homme a raison, retrouver une empreinte parmi tant d'autres sans connaitre certaines caractéristiques de l'auteur de ce crime rend la tâche impossible.

Le jeune agent se gratta le coin de la tête tout en disant :

« Malheureusement, les vidéos de surveillance du centre commercial ne sont pas utilisables, il semblerait que les images sois trop flou pour réussir à se dire si c’est un homme ou une femme ... J’ai bien essayé d’interroger les différentes victimes, mais personne n’a pu me donner des informations utiles, il faut croire que les personnes qui auraient pu le décrire ne sont plus de ce monde ...»

Il regarda l’homme à l’allure classieuse et lui dit :

« Pour les horaires, les caméras affichant l’heure sur les vidéos, il était 17h 42 au moment du premier coup de feu . Et au sujet de madame Mori , vous avez raison, elle n’était pas venue seule. Son manager était avec elle , manageur qui est également mort lors de cet incident , Jugo Mira l’homme avait le même âge que madame Mori et surtout nous savions qu’il sortait ensemble , nous l’avions appris en interrogeant les proches de la victime.»

Après avoir fini sa phrase , un policer arriva dans la pièce suivit de très prêt par les cinq suspects ainsi que de l ‘un de ses collèges :

« Visiblement les voilà mlle Yamasuka , nous avions prévu de faire venir les suspects sur place pour permettre des intérrogations plus pousser ...»

Le jeune agent s’approcha de ses collègues commençant à leur parler, tandis que les suspects attendaient bien sagement de pouvoir rentrer chez eux ...

Quant à Shido qui fouillait les poubelles , il trouva quelque chose de ma fois peut commune , parmi les détritus , un sachet en plastique , celle-ci contenait une paire de gants blancs , malheureusement, c’était une paire a taille unique .

Identité: Yoko Yamasuka
Age: 16
Statut: Très concentrée dans ce qu'elle fait
Équipement:
Veste en cuir, Jean noir, Bottes à talon haut, combinaison moulante dépassant des habits.

Narration | Yoko | Autre Ennemi | Autre Neutre | Autre Ami

Une arme du crime précise, une horaire précise, 5 suspects spécifiques sur l'entièreté de Tokyo et personne n'a pu apercevoir le sexe du coupable? C'est vraiment un cas difficile à résoudre et je ne suis pas si certaine que l'un des 5 suspects soient coupables avec si peu d'éléments sur le responsable de l'attentat. Si mes impressions sur Akibe ne sont pas concluantes je devrai prendre un peu plus de recul et ne pas sauter aux conclusions trop hâtives.

Ce qui me surprend le plus c'est que les 5 suspects ont répondus présents pour des interrogations soumises au grand publique... Je met mes deux doigts sur les yeux pour masquer un certain mécontentement puis reprend.
Je comprend qu'un coupable mérite d'être affiché au grand publique mais si aucun d'entre eux ne l'est c'est incorrect de les afficher de la sorte au centre commercial tout entier. Mais bon passons sur ce point ça nous fera peut-être gagner du temps.

Je m'approches des 5 et les observes. Leur comportement, le mouvement de leurs mains, leurs yeux. Je les observent longuement sans rien dire tout en me remémorant les différents éléments.

Premièrement, l'arme du crime est une UMP45. Cette arme d'origine étrangère possède un recul important impossible à tenir correctement pour un amateur.
Ensuite, dans toute les victimes, une personne analysée comme étant la cible principale a été criblée de balles. C'est de toute évidence que l'arme était bien tenue pour avoir une telle précision.
Enfin, la fuite devait être rapide et nécessitait sans aucun doute de l'agilité si cela avait été cette fenêtre. Je tourne mon regard vers Akibe si elle est innocente elle doit certainement savoir que c'est elle le bouc émissaire parfait. Je ne dis rien et l'observe un peu plus que les autres. Mon regard se porte alors sur une autre personne en plus d'Akibe, Naomi Kimano.
Peut-être que quelqu'un aura quelque chose à dire qui m'aidera à avancer dans l'enquête avant que je ne pose mes propres questions. Je préfère observer que de poser les questions qui nuiraient à ma concentration.

En réalité je suis un peu choquée qu'ils aient tous répondu présents et je suis surtout très intrigué par cela. Pourquoi? Difficile d'accuser des gens qui ont répondu présent à une interrogation publique scandaleuse...

Je fouillais donc à mon rythme les poubelles quand soudain, je tombais nez à nez avec un sachet contenant des gants blancs , je les tournais dans tous les sens sans pour autant retirer le plastique pour essayer de voir s'il n'y avait pas une quelconque trace pouvant mettre utile ; mais rien il étais d'un blanc immaculée , , je continuais de fouiller les poubelles de l'étage , je trouvais pour toute la même chose , des gants dans un sachet plastique bien fermer .

Pourquoi mettre autant de pair de gant, dans toutes les poubelles de l'étage, je me posais de plus en plus de questions tout en continuant ma fouille des poubelles jusqu'à arriver à celle du lieu du crime.
J'arrivais donc les bras remplirent de sachet avec des gants à l'intérieur , me penchant vers la poubelle pour fouiller son contenu , malgré tout ce qui se passait autour de moi ...

Je soupirai de de morosité, nous n'étions pas sorti de l'auberge avec si peu de faits et de preuves concrèts. Que ce soit les emprunts confondues voire piétinées par une multitude de monde, les témoignages frôlant le zéro absolu et les caméras du centre inutilisables, cela me rappelait nettement mon époque. M'enfin cela m'offrait un brin de challenge, ce qui rendait la trame bien plus divertissante qu'un simple massacre. Je fis les cents pas, ordonnant dans mon esprit le peu de détails que nous avions à notre disposition.

L'agent Koda appela ses équipiers pour amener les suspects afin de nous permettre un interrogatoire plus poussé. Yoko sembla désappointée vis-à-vis de cette action, en effet sur un plan pratique, laisser un potentiel coupable sur la scène du crime risquait d'entraver la bonne manoeuvre de l"enquête. Il ne reste plus à espérer que les agents les escortant, les surveillent avec la plus grande minutie. Pendant ce temps le jeune Shido revient les bras chargés de sachets de paire de gants immaculées mais néanmoins nauséabonds. D'un ton égal, je l'interpellai en restant pour le moment à bonne distance :

- Où avez-vous déniché vos trouvailles ? Les poubelles ?

Sans attendre une réponse déterminante, je rivais mon attention quelques peu silencieux sur la belle brochette de suspects, les examinabts sous toutes les coutures dans un premier temps. Ensuite, je m'approchai de l'assemblée, les désignant de ma canne d'un geste élégant afin de les englober. Débutant l'interrogatoire de mon expression neutre et implacable:

- Chacun votre tour, vous allez répondre avec toute la sincérité dont vous devez faire preuve. Votre vie est en jeu après tout, les cachoteries vous desserviront et dites vous bien que je le saurais. Ainsi veuillez nous raconter avec la plus grande minutie ce que vous faisiez à l'heure du crime. Et ensuite si vous connaissiez de près ou si vous aviez le moindre lien avec le mannequin Kita Mori ou son manager Jugo Mira. Ne soyez pas avare en détails, je vous prie.

Tout en posant les bases de ma réflexion bien que vague, je tirais quelques lates sur ma cigarette, faisant attention de noter chaque réaction morphologique contradictoire au cours de leur déposition.

Les suspects étaient alignés comme dans l’ordre de leur portrait, le jeune Sherlock leur demandant ce qu’il avait fait le jour du crime:

« Kizuma : bon écouté malgré que je sois dans un petit gang, je ne veux pas d’histoire ! Je suis bien passer au centre commercial le jour de la fusillade, je ne saurais vraiment dire à quelle heure, mais je me suis juste arrêter devant pour qu’un ami me récupère, je le jure ! À part à la télé, je ne connaissais pas cette femme ni cet homme.»

«Naomi : j’avoue également ma faute ... Je suis bel et bien passé au centre commercial ce jour-là. Il devait être aux alentours de 13 h, j’étais venu chercher quelque chose de personnel pour pouvoir arrondir mes fins de mois, il m’arrive de faire plus que ce que mon métier me demande pour pouvoir vivre convenablement ... Je n'ai jamais vu, ce sont deux personnes de ma vie !»

« Megumin : je ne suis jamais venue ici ! Comme je l’ai dit, j’étais arrivé deux heures avant ce drame en avions ! Je m’étais fait virer de mon boulot et en plus larguer par mon petit copain ! Aucune chance que je me trouve ici au moment du crime ! Je ne connaissais pas les victimes »

« Seishiro: je suis bel et bien passer au centre commercial ce jour la, je devais aller chercher des médicaments pour un ami cloué au lit. Au sujet des victimes, il m’est arrivé une ou deux fois de les croisés dans l’établissement auquel je travaille, mais nos relations s’arrête là !»

« Aiho : quant à moi j’étais chez moi toute la journée , j’ai annulé cette leçon pour pouvoir réviser mes études . Mes examens en fac de médecine approchent à grand pas et je ne pouvais pas donner cette leçon particulière . Pour les deux victimes je les ai juste vu une fois à la télé un soir dans un bar.»

Tous disaient leur version des faits , Kizuma quant à lui détourner le regard par peur des répercussions de ses dires . Naomi a quant à elle baisser le regard de honte que ses activités soit révéler . Megumin et Seishiro quant à eux lancèrent un brief regard autour d’eux avant de parler . Quant à Aiho, il retenait ses larmes.

Shido, après avoir fouillé toutes les poubelles de l’étage, fouillait la dernière prêt des suspect et du lieu du crime. Et qu’elle fut sa surprise de remarque qu’il n’y avait aucun sachet avec des gants blancs dans celle-ci...

HRP: on va changer l'ordre pour que sa avance un peut plus , a chaque poste , voyde répondra .

Le nouvel ordre : Yoko , Voyde , Shido , Voyde , Sherlock , Voyde

Identité: Yoko Yamasuka
Age: 16
Statut: Attitude stressante mais attentive
Équipement:
Veste en cuir, Jean noir, Bottes à talon haut, combinaison moulante dépassant des habits.

Narration | Yoko | Autre Ennemi | Autre Neutre | Autre Ami

A les écouter j'en ai presque mal au cœur. Je suis partagée entre la compassion et le dégoût d'un potentiel mensonge. Je garde mon calme et éprouve une profonde déception sur le comportement de Megumin Akibe. Pourquoi tu agis comme ça si tu es innocente? L'armée ne t'as pas appris à te tenir droite et à ne rien dire? Malgré tout son comportement est anormal pour une professionnel que tout accuse. Cela pourrait aussi être une stratégie de sa part. Je vais donc jouer avec les sentiments des suspects pour voir si je peux craquer quelques informations plus personnelles.

Kizuma, vous êtes membre d'un groupe de vauriens qui ne feraient pas de mal à une mouche alors donnez plus de détails sur votre escapade. On ne veut pas d'excuses misérables mais du concret. Où est la moto, qui est votre ami si ce n'est pas un membre de votre gang? Un dealer de drogue? Dites le vous partirez plus vite!

Naomi, votre situation est regrettable mais même si ça vous fait du mal d'avouer quelque chose les professionnels ne peuvent pas faire de simples suppositions par rapport à votre comportement et sans preuve. Si vous ne pouvez pas parler ici et qu'il s'avère que vous êtes innocente, n'hésitez pas à venir vous confesser à l'église. La bonté du seigneur est telle que vous serez pardonnée pour vos péchés par la vérité avouée et tout enfant du seigneur est le bienvenu dans sa maison.

Seishiro, vous avez connu les victimes, vous aviez dit travailler mais finalement vous preniez des médicaments pour un ami dans se même centre commercial bondé de monde alors qu'il aurait été plus rapide d'aller dans une petite pharmacie à l’extérieur. J'espère sincèrement que vous dite la vérité et que ce ne sont pas encore des mensonges pour cacher quelque chose de plus grave. Votre beauté ne vous sauvera pas à tous les coups si vous êtes coupable sachez le.

Aiho, *soupire* il n'y a aucun mal à pleurer si cela peut vous permettre de dire ce que vous avez sur le cœur, je m'en veux presque d'avoir douté de vous sur beaucoup d'aspects. Restez juste ici le temps de l'enquête mais ne retenez pas vos larmes si vous n'avez rien à cacher, jouer les durs n'apporte rien à personne si ce n'est que des problèmes.

Pour finir je vais devant Megumin et arrête mon poing non loin de son ventre en retenant mon coup.
Ecoute ce que tu dis, tu as des réflexes d'une professionnelle mais tu agis comme une gamine. Joue pas aux idiotes tu as dis plusieurs choses qui ne font pas de sens en trop peu de temps. Ton billet d'avion date de la veille du crime sur son arrivée ça a déjà été prouvé que tu es arrivée la veille.
Tu viens d'arriver au Japon mais ton travail étant "ancienne militaire" pourquoi ne pas l'avoir dit avant que tu avais un travail dans je ne sais quoi et que tu as été virée?
Pourquoi tu parle de ton petit copain alors que ça n'a rien à voir avec l'enquête?
C'est pas la meilleur façon de rendre les gens tendres avec toi.
Regarde Aiho, si il fait semblant alors il est le meilleur acteur jamais vu. De tous tes drames là tu as pas l'air d'en souffrir le moins du monde alors arrête de faire en sorte que toutes les accusations portes sur toi le temps de l'enquête veux-tu?

Énervée de devoir faire ces explications je prend en compte les mouvements de tête de Megumin et de Seishiro. Possiblement un complot à deux? Je me range sur le côté et laisse les autres dires ce qu'ils ont à dire alors que je réfléchis aux possibilités. Dans quelle direction est-ce que ces deux là regardaient? Quel est l'endroit qu'ils ont le plus regardé? Pourquoi?

Les suspects écoutés un par un les mots de la jeune femme, aucun d’eux ne broncher sauf l’une d’elle, Megumin se mordit la lèvre et lui dit d’un élan de rage :

« Reparle-moi encore une fois comme sa salope et je t’arrache ce qui te serre d’yeux ! Piger la minable !»

Les deux policiers s’empressaient de venir retenir Megumin qui commençait à s’agiter, prête à sauter sur Yoko.

L’agent Koda ça mit à toussoter légèrement avant de prendre la parole :

« Nous vous suspectons tous plus ou moins ... Mais nous allons devoir vous relach...»

Soudain, un policier arriva en courant tout en criant le nom de l’agent Koda , celui ci s’approcha de son oreille et se mit à lui chuchoter des choses :

« Au intéressant ...»

L’agent Koda regardait l’assembler autour de lui et dit :

«Apparement Mademoiselle Megumin et Monsieur Seishiro auraient eu des relations avec les deux principales victimes ... Il ne faut jamais négliger nos forces de renseignements ! Pourquoi l’avoir caché ?»

L’agent Koda croisait les bras attendant une réponse.

Je regardais Benedict en lui montrant mes trouvailles tout en lui disant :

« J’ai trouvé des tas de gants blanc dans des sachets, tous se trouver dans les poubelles de cet étage, la seule poubelle où je n’en ai pas trouvé et celle-ci !»

Je pointais la poubelle prêt du lieu du crime, pendant que les autres étaient en pleines interrogations, je continuais de fouiller les alentours, soudain mon regard se posa sur un endroit étrange, je pouvais voir comme une petite grille sur le bas d’un mur, cette petite grille était légèrement ouverte.

Je me mettais à quatre pattes et commençais à l’ouvrir ...

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